28 février 2012

Alignement ou...

  Un petit problème technique aux conséquences 
littéraires imprévues !

Hélas, l'auteur a trouvé finalement son texte par trop poussif de sorte qu'il a décidé de le supprimer. Toutefois, il ne peut se résigner à destiner au même sort une des deux illustrations qui accompagnait ce texte tant elle continue de lui plaire :


J. Ange & A. Buehrle

4 février 2012

Le Progrès a-t-il un avenir ?

                Publi-promotionnel d’une artiste de grand talent.

Astrid Buehrle, un des membres fondateurs de notre revue, expose jusqu’au 11 février quelques-unes de ses peintures à la MJC Monplaisir à Lyon. Avec lucidité et expressivité, Astrid Buehrle projette sur la toile et sur le papier la présence au monde dans ce qu'elle a de désemparant.



Astrid Buehrle est profonde et sincère. Par son désir de re-nouer avec un art figuratif, elle se démarque de l’art contemporain égaré à nos yeux dans un no man’s land de nébulosité et d'outrances. C'est pourquoi Astrid Buehrle peine-t-elle à voir reconnaître son talent par les élites culturelles.

À ce sujet, une journaliste du grand quotidien de la région lyonnaise, Le Progrès, a quelque peu mélangé les pinceaux et les torchons dans son article consacré à l'exposition d'Astrid Buehrle : « Ses influences seront à chercher plus volontiers du côté de Baudelaire et de Camus que de Kandinsky et autres peintres abstraits dans lesquels elle ne se reconnaît pas. » Or, au cours de son entretien, Astrid Buehrle n’a jamais évoqué Kandinsky et l’art abstrait, mais seulement l’art contemporain. L’art abstrait et l’art contemporain ne recouvrent pas la même chose : le premier a fait vivre une autre vie aux pinceaux, le deuxième, aux stylos (pour rédiger les notices indispensables à la compréhension des œuvres). Il est regrettable de les avoir confondus et ainsi prêté à Astrid Buehrle des vues qui ne sont pas les siennes. Il fallait faire cette rectification.

 J. Ange

  Pour découvrir le travail d’Astrid Buehrle : enfersartificiels.com.