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14 juillet 2012

Exposition L'Humanité à Lausanne

Cette grande exposition, que nous avons annoncé dans notre dernier numéro, s’est ouverte hier vendredi au Palais Beaulieu et durera jusqu’au dimanche 19 août. Organisée par Sophie Orlic, elle a pour thème le désarroi existentiel que traverse notre époque. En suivant un parcours labyrinthique, les visiteurs pourront découvrir les œuvres (peintures et sculptures) expressives, voire torturées, de 21 artistes parmi lesquels Olivier de Sagazan et Lydie Arickx – ainsi que notre chère collaboratrice Astrid Buehrle !



J. Ange
(Crédit photo : idem)

4 février 2012

Le Progrès a-t-il un avenir ?

                Publi-promotionnel d’une artiste de grand talent.

Astrid Buehrle, un des membres fondateurs de notre revue, expose jusqu’au 11 février quelques-unes de ses peintures à la MJC Monplaisir à Lyon. Avec lucidité et expressivité, Astrid Buehrle projette sur la toile et sur le papier la présence au monde dans ce qu'elle a de désemparant.



Astrid Buehrle est profonde et sincère. Par son désir de re-nouer avec un art figuratif, elle se démarque de l’art contemporain égaré à nos yeux dans un no man’s land de nébulosité et d'outrances. C'est pourquoi Astrid Buehrle peine-t-elle à voir reconnaître son talent par les élites culturelles.

À ce sujet, une journaliste du grand quotidien de la région lyonnaise, Le Progrès, a quelque peu mélangé les pinceaux et les torchons dans son article consacré à l'exposition d'Astrid Buehrle : « Ses influences seront à chercher plus volontiers du côté de Baudelaire et de Camus que de Kandinsky et autres peintres abstraits dans lesquels elle ne se reconnaît pas. » Or, au cours de son entretien, Astrid Buehrle n’a jamais évoqué Kandinsky et l’art abstrait, mais seulement l’art contemporain. L’art abstrait et l’art contemporain ne recouvrent pas la même chose : le premier a fait vivre une autre vie aux pinceaux, le deuxième, aux stylos (pour rédiger les notices indispensables à la compréhension des œuvres). Il est regrettable de les avoir confondus et ainsi prêté à Astrid Buehrle des vues qui ne sont pas les siennes. Il fallait faire cette rectification.

 J. Ange

  Pour découvrir le travail d’Astrid Buehrle : enfersartificiels.com.